Décidément le Président Alassane Ouattara aura réussi à amener les autorités burkinabé sur la voie du règlement pacifique et diplomatique des affaires des écoutes téléphoniques et du mandat d’arrêt qui vise Guillaume Soro. En effet, en marge du somme du Conseil de Paix et de Sécurité de l’Union Africaine qui se tient ce samedi 30 janvier 2016, à Addis-Abeba, les présidents Alassane Ouattara et Roch Marc Christian Kaboré ont eu un entretien de plus d’une heure. L’analyse des déclarations des deux hommes d’Etat donne raison au journaliste écrivain Ivoiro-Burkinabé, Alexandre Lebel Ilboudo, qui indiquait sur sa page facebook en début de semaine que «Ma conviction est que ces affaires n’iront nulle part, parce qu’elles ne peuvent rien nous réserver de pire que le buzz qu’elles créent en ce moment : le débat contradictoire (…)». Le journaliste terminait son analyse en précisant que l’essentiel pour la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso est ailleurs. Lire la suite sur Investigateur.net