Dans une déclaration dont copie est parvenue à informateur.info, la famille Ghazal traduit sa « reconnaissance » au Président Alassane Ouattara et à la police ivoirienne suite à l’arrestation des quatre présumés auteurs de l’assassinat de l’opérateur économique Mahmoud Ghazal.
Par voie de presse, la famille GHAZAL a appris l’arrestation d’individus qui seraient les présumés auteurs de l’assassinat de notre regretté frère, Mahmoud GHAZAL, président-fondateur de sociétés industrielles en Côte d’Ivoire depuis plus de dix ans.
La famille GHAZAL et alliés avaient en effet par la presse alertée l’opinion sur l’assassinat de ce créateur d’emplois et grand ami de la Côte d’Ivoire.
Nous avions dans la foulée, et suivant la douleur qui nous étreignait estimé qu’il y avait de la lenteur dans l’enquête qui avait suivi le meurtre odieux de ce chef d’entreprises, assassinat intervenu en pleine journée au sous-quartier Wassakara de Yopougon, devant des témoins oculaires.
Face à cet état de fait, la famille GHAZAL, à Abidjan avait demandé aux autorités policières et judiciaires ivoiriennes, avec au plus haut niveau le Président de la République, SEM Alassane OUATTARA, un ferme engagement à faire triompher la justice.
Certes pour notre frère et parent mais aussi pour tous ces innocents tués souvent sans suite judiciaire.
Nous avions reçu des engagements sur la bonne conduite de l’enquête policière jusqu’à découverte par nous dans la presse que quatre individus ont été épinglés pour le meurtre de M.Mahmoud GHAZAL, père de deux enfants, premier responsable de l’usine Cotraf SA de korhogo avec 500 travailleurs et qui seraient aussi les auteurs de l’atroce tuerie survenue sur la jeune étudiante, Claude Larissa ABOGNI le 12 Août 2015, toujours à Yopougon.
Ce sont selon la presse, les sieurs OUATTARA Abdoul Karim dit Kamso, YELBI Daouda alias Dao, Cheick Ali Mohamed alias Bigmo et son père El Cheick Ali Fadel, deux présumés ressortissants libanais.
En attendant que leur comparution devant le Tribunal de Yopougon situe sur les enjeux de cet assassinat crapuleux de notre frère et parent, la famille GHAZAL, à Abidjan voudrait traduire sa reconnaissance au Président de la République de Côte d’Ivoire, SEM Alassane OUATTARA, au Ministre d’Etat, Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité et à tous ses collaborateurs de la Direction Générale de la Police et de la Police criminelle.
Nous sommes particulièrement reconnaissants à Monsieur le Directeur de la Police Criminelle et à toute son équipe qui ont permis de mettre la main sur ces premiers suspects.
La famille GHAZAL se satisfait de l’aboutissement heureux de cette enquête qui rassure les investisseurs qui entendent contribuer à la réalisation du grand chantier de l’émergence tracé par SEM Alassane OUATTARA.
Toutefois, nous voudrions en appeler la justice à avoir la main très lourde contre ces quatre meurtriers qui ont privé une famille de l’affection d’un parent et de travailleurs, à San Pédro et à Korhogo, de celle d’un collaborateur et responsable.
La famille GHAZAL, tout en réitérant son indéfinie reconnaissance à tous pour le soutien, voudrait traduire l’attention qu’elle porte à cette affaire et à la justice qui sera rendue suivant la sanction la plus exemplaire possible que la justice infligera à ces quatre présumés hors-la-loi.
Par le jugement qui sera fait et les sanctions qui seront prononcées, nous voudrions que ce procès soit un cas sans précédent dans l’application de la rigueur de la loi et dans l’intérêt de la nation ivoirienne. Le message qui sera ainsi transmis via ce procès sera tout simplement : la Côte d’Ivoire est aujourd’hui dans la voie de l’émergence et ne sera d’aucune compassion avec des individus qui obstruent cette voie tout en commettant des crimes odieux au su et au vu de tous.
Pour notre part, la famille GHAZAL salue la détermination des autorités ivoiriennes à créer un climat sécurisé pour des investissements majeurs et à garantir la sécurité des populations.
Nous réitérons toute notre confiance quant à une justice des plus exemplaires pour ces dangereux criminels sans foi ni loi.
Pour la Famille GHAZAL
Ali GHAZAL